[RP]La lanterne rouge

Messages : 3 Date d'inscription : 19/02/2010 Age : 35 Localisation : Masuda

Dans le quartier le plus malfamé de Masuda, Leya avait ouvert sa Lanterne rouge, lieu de plaisir.

Leya avait eu au cours de sa courte existence de nombreux amants. Ainsi, son premier, un peintre lui avait offert de nombreux tableaux d'elle même dans des postures plus qu'équivoques, montrant son intimité sans pudeur. Puis il y avait ce tisseur qui lui avait donné les plus belles étoffes de la contrée. L'indien aussi qui lui avait fait découvrir le Kama Sûtra et ses merveilles, le vieux sage qui lui avait appris à lire et à écrire entre deux parties de jeux charnels.
Il y avait eu aussi son père pour la dresser au maniement des armes, son frère pour lui apprendre la souplesse et les premiers plaisirs de la chair et enfin sa mère qui lui avait appris les hommes.
En installant son antre, Leya les remercia tous un par un. L'endroit n'était pas luxueux mais tout de même bien agencé grâce aux nombreux cadeaux qu'on lui avait fait et aux trouvailles qu'elle avait entassé dans sa charette pendant ses nombreux voyages.
Dès l'entrée, un salon et un bar. Puis à l'étage des chambres ornés de tentures, de miroirs, d'objets de plaisir et une vaste salle d'eau pour la détente des corps harassés par le plaisir.

Leya se posa enfin sur un sol de coussins observant avec plaisir le résultat de tous ces travaux. Elle sourit en s'observant dans le miroir. Vêtue seulement d'un pagne et d'un cache coeur en soie, elle se trouva belle et dans un soupir, elle entreprit de satisfaire ses désirs trop longtemps relégués au second plan.

Messages : 3 Date d'inscription : 20/02/2010

Avançant la capuche baissé dans l'un des lieux les plus sordides de Matsuda, Saburo n'était pas rassuré, sans escortes ni meme un ami pour le soutenir si un des etres dégéneré qui peuplait l'endroit le regardait de travers. Il avait son katana a porté de main qu'il caché sous un pli de son kimono, comme seul protection devant les malfrats de la zone qui lui donnait des envies de meurtre.
Il cherchait l'endroit depuis des heures, quand au moment le plus froid de la nuit il le trouva enfin, La Lanterne Rouge !
L'endroit était tamisé, mais la richesse des décors pouvait en faire un lieu convenable, pour quelqu'un n'aiment pas particulierement le luxe, enfin les gens qui venait içi ce moquait de ce genre de détails, le plus important était qu'ils puissent satisfaire leurs besoins du corps, mais Saburo n'était pas là pour ça. La porte neuve n'avait émis aucun grincement a son entrée et cela l'aranger, il la referma dans le plus grand silence et la bloqua, il avait besoin d'etre seul pendant quelques temps.
L'endroit semblait desert hormis la ténanciere au mileu d'une miriade de coussin, elle ne se doutait de rien, elle n'avait pas vu l'homme entrer, elle semblait perdu dans ses pensées. Il approchat doucement... d'un pas de velour il ce rapprochait d'elle, il prit sans faire aucun bruit son katana, tout douçement le leva et le posa sur un rebord. Il continua de se rapprocher et une fois a bonne distance mit délicatement ses mains autours des yeux de Leya et l'embrassa dans le cou.

Devine qui sais ? l'endroit est desert, j'ai fermé la porte personne ne pourra nous deranger. L'endroit te plait j'espere ? Si jamais tu as besoin d'autre chose dit le moi, je ferai en sorte que ton désir soi satisfait. A condition que tu trouves qui je suis ma petite Leya-chan.

Messages : 3 Date d'inscription : 19/02/2010 Age : 35 Localisation : Masuda

Des mains froides sur ses yeux, un baiser chaud dans son cou et le son de cette voix dans son oreille.

Devine qui sais ? l'endroit est desert, j'ai fermé la porte personne ne pourra nous deranger. L'endroit te plait j'espere ? Si jamais tu as besoin d'autre chose dit le moi, je ferai en sorte que ton désir soi satisfait. A condition que tu trouves qui je suis ma petite Leya-chan.

Saburo!

Les mains aussitôt se détachèrent et Leya put se retourner pour sauter dans les bras de l'homme.

Le batiment est superbe!J'ai bien aménagé l'endroit non?Ne t'en fais pas je n'ai besoin de rien d'autre que de ta chaleur...

Leya passa sa main dans les cheveux de l'homme remettant en place des mèches déplacées par le vent. Puis sa main glissa sur la joue.

Tu es glacé!

Saisissant une bouteille de saké, elle remplit un verre pour Saburo et lui offrit dans un sourire. Elle rajouta une buche dans la cheminée.Elle attendit qu'il prenne le temps de se réchauffer.

Alors...Tu es venu jusqu'à Masuda.Seul?

Messages : 3 Date d'inscription : 20/02/2010

Saburo prit quelques gorgées du sake que lui avait tendu Leya. Il regarda la jeune femme tendrement, le batîment lui allait parfaitement mais pour Saburo cela n'était qu'un taudis, bien aménagé certes, mais le jeune noble aurait aimé qu'il soit dans un quartier riche, ou il ne risquerait pas de se faire agresser à un tournant de ruelle, mais Leya n'avait pas voulu.

Je suis avec mon hamato, je l'ai laissé vaquer à ses occupations, nous sommes donc tranquille pendant un moment, cependant avec mes responsabilités politique je suis seulement de passage.
Tu as du monde avec toi ? Peut être qu'un jour si tu te lasses de l'endroits, avec ton personnel tu t'installeras dans un quartier plus en vu ? Je pourrai toujours t'aider financierement.

Le long voyage qu'il avait du accomplir, l'endroit et la présence de Leya firent monter le désir de Saburo. Il se rapprocha d'elle et commença à l'embrasser.

L'endroit est'il desert ? Les yujos ne sont pas encore là ? Peut être pourrait ont inaugurer le batîment ? Mon voyage était fatiguant et un moment avec toi m'aiderais à oublier mes soucis.

Messages : 3 Date d'inscription : 19/02/2010 Age : 35 Localisation : Masuda

Saburo avait l'air tellement las que Leya mit toute la passion qu'elle avait pour lui dans son baiser. Leya n'aimait pas la politique même si elle la regardait tout de même de loin. Et puis elle préférait lui donner du plaisir que devoir encore se battre pour lui faire comprendre que les grands quartiers ne l'intéressaient pas et qu'elle ne serait jamais, ô grand jamais, une de ces geïshas serviles. Elle aimait sa liberté et au moins dans ce quartier on la prenait telle qu'elle était.

Elle le prit donc par la main pour le mener à l'étage lui laissant tout le loisir de détailler ses fesses fermes en montant l'escalier.

Je suis toujours seule ici!Viens j'ai quelque chose à te montrer!

Elle lui fit fermer les yeux, se tint coller serrer derrière lui et le fit entrer dans une des chambres. Celle ci était couvertes de miroirs de toutes formes et de toutes dimensions permettant ainsi aux corps enfiévrés de se diviser en milliade. Elle le poussa, toujours les yeux clos, vers le lit où elle le fit s'asseoir avec délicatesse. Elle même s'assit à califourchon sur les genoux masculins et fit glisser ses lèvres dans le cou puis vers l'oreille où elle chuchota.

Maintenant tu peux ouvrir les yeux et te laisser faire...

Elle ota avec délicatesse les vêtements de l'homme dénudant ainsi son torse. Elle parcourut cette peau noble aux parfums délicats avec ses lèvres et sa langue et d'un geste ferme de la main obligea Saburo à s'allonger. Les mains expertes de la jeune fille finirent d'ôter les vêtements de l'homme et elle se redressa pour observer ce corps souple. Observant les yeux de son amant, elle y vit toute la gourmandise dont celui ci était capable et se dévêtit lentement. D'abord le cache coeur qui laissa enfin sortir la poitrine généreuse puis le pagne qui montra enfin ce que Saburo connaissait déjà: des jambes fines et élancés, des fesses fermes et un mont de vénus lisse et brillant.Lentement, elle parcourut son corps de la main, nue au milieu de la pièce, attendant une réaction de son fougueux amant. Lentement, la main traversa la gorge, la poitrine et se dirigea vers le nombril puis vers l'entrejambe. Le regard de Saburo bien plus que les caresses excitait déjà Leya qui commença à soupirer...

Messages : 3 Date d'inscription : 20/02/2010

[ Je ne donne aucune valeur au ldj qui font de leur perso des geishas, pour moi plus de 300 ans d'écart est un anacronisme non négligable, quand Saburo a dit de meilleurs qualité, c'était plutot des Yujos de ''luxe" ]

Saburo savoura le délicat baiser de Leya. La passion qu'il dégageait signifiait que la pénibilité de son voyage allait être récompensé. Quand elle le tira à l'étage, qu'il put admirer à travers un fin kimono, certaines parties partie de l'anatomie de la jeune femme, le doute n'était plus permis. Surtout quand il dut fermer les yeux. Pendant le laps de temps ou sa vision était bloqué, il ne pouvait que laisser son esprit imaginer quel jeu amoureux lui était reservé.
Il sentit le contact des draps quand elle le poussa sur le lit.

Maintenant tu peux ouvrir les yeux et te laisser faire...

Se laisser faire par la femme experte qui était déjà sur lui, il en avait déjà l'intention. Quand il ouvrit les yeux, il porta son attention en premier sur la femme, qui commençait à le deshabiller et dont les tendres baisers lui donnait quelques idées. Il n'eu même pas le temps d'en developper une, qu'il était déjà nu et Leya aussi qui commençait a se caresser. Il la regarda avec attention. Il la regarda avec une envie renouvelé quand il tourna un peu la tête pour voir que la pièce était remplie de mirroir et qu'ils étaient tous les deux au milieu. Il se redressa un peu pour pouvoir embrasser délicatement, la poitrine généreuse de Leya, peut de niponne pouvait être fière d'avoir une poitrine pouvant inspirer temps de désire. Peu à peu, il commença à descendre, léchant tout doucement le ventre de sa compagne. Il s'arreta à un endroit ou il put exprimer tout son désir, sa gourmandise et son talent. Il s'y prit méthodiquement et en douceur, pour exiter sa partenaire et tenter de lui arracher quelques petits gémissement.
Quand il eu finit, le petit corps frétillant dans lequel sa langue était entrée, lui donnait envie de commencer les choses sérieuses.
Il l'embrassa ensuite, langoureusement au niveau de ses levres supérieurs; tout en passant sa main à des endroits bien précis de l'anatomie provoquant quelques petits soupir d'éxitation chez sa partenaire.